La conférence d’Elena Dolgouchine évoquera les œuvres festives profanes, mais également sacrées, leurs qualités musicales et expressives. Ainsi, au cœur de cette conférence, un joyau de Bach-l’Oratorio de Noël- nous emmènera vers la joie chantée, dansée, immense joie de Fête. Pour éprouver alors cette joie, de quelle musique avons-nous besoin ?

Le but de cette conférence est de proposer un aperçu de ce que fut, entre 1970 et 2000, le muralisme Chicano, l’un des noms ayant servi à désigner la population d’origine mexicaine des Etats-Unis.
Ce mouvement muraliste états-unien est un tardif mais vibrant rejeton, qui reprend à sa manière la tradition du Muralisme Mexicain, incarné à partir de la Révolution mexicaine des années 1920, par les trois grands  peintres, José Clemente Orozco, Diego Rivera et David Alfaro Siqueiros.

Depuis les années 70 de nombreux artistes sont sensibles aux enjeux sociaux et environnementaux. Mais après l’élan néo-romantique du Land Art qui les a poussés à oeuvrer dans des territoires vierges, s’est posée la question de l’utilité: quel rôle l’art peut-il jouer dans le combat écologique ?
Accompagner la prise de conscience, alerter, dénoncer, rendre visible la destruction des écosystèmes, proposer des initiatives pour coopérer avec le vivant, réparer localement…Les initiatives sont nombreuses et variées.